Les conditions pour devenir un étudiant auto entrepreneur

« Etudiant auto entrepreneur » est un statut légal comme le fait de se déclarer comme prestataire indépendant. Et à ce titre, il y aura quelques conditions à respecter pour y être éligible. Parmi ces conditions, pour devenir étudiant auto entrepreneur, vous devez avoir atteint la majorité légale pour créer une entreprise pour vous lancer. C’est-à-dire 18 ans.
Par ailleurs, vous devez choisir un domaine qui sera listé auprès des RCS comme « professions autorisées pour les étudiants autoentrepreneurs ». Ne vous inquiétez pas, vous aurez plus de choix que vous ne le pensez.
La déclaration de votre statut ne se fait pas uniquement par un formulaire que vous allez remplir auprès des autorités. Vous devez élire un domicile à votre activité professionnelle. Vous pouvez utiliser votre adresse ou celle des parents ou tuteurs, voire louer une adresse pour votre siège.

Pourquoi le statut d’étudiant auto entrepreneur ?

Pour les étudiants, choisir ce statut présente des avantages incontestables. Pour commencer, votre niveau d’imposition, sur les revenus de votre activité, ne sera pas le même que les autres professionnels. Ce qui vous permettra de gagner plus de bénéfices.
Par ailleurs, vous déclarer comme étudiant auto entrepreneur n’impactera pas sur les bourses, allocations et aides financières que vous pouvez toucher. Vous pouvez toujours être considéré comme un étudiant. D’ailleurs, en parallèle avec votre activité professionnelle, vous allez continuer vos études. L’objectif étant de gagner un peu plus d’argent pour vous en sortir pendant vos années universitaires.
Et avoir un statut professionnel permet de mieux séduire les clients. C’est plus rassurant pour ces derniers. Sans compter que cela servira à votre CV, et ce, sur le long terme. Pour mettre en valeur cette première expérience professionnelle, votre CV joue ainsi un rôle important car ce sera le premier document que vos futurs clients verront. De ce fait, ne laissez rien au hasard, sur https://www.genius-cv.com, vous avez le choix entre différents styles de CV nouvelles générations. Vous aurez ainsi un CV personnalisé et reflétant totalement votre personnalité.

Quelles sont les différentes missions pour bien gagner votre vie comme étudiant auto entrepreneur ?

Mais quelles sont donc les missions auxquelles vous pouvez prétendre en tant qu’étudiant auto entrepreneur ? Sur les plateformes de job étudiant, vous avez le choix. Cela va des soutiens scolaires pour des enfants et des étudiants de tous les âges et de tous les niveaux aux missions de freelance en tout genre et de consultance.
Vous pouvez travailler aussi bien pour des particuliers que pour des entreprises. Certaines cherchent des VOD, des prospecteurs, des animateurs en tout genre, en plus des consultants dans différents domaines.
Vous pouvez également vous lancer complètement à votre compte en ouvrant une boutique en ligne que vous allez gérer à distance. Encore faut-il pouvoir tout gérer en plus de vos cours.

Le métier de rédacteur web, c’est quoi exactement ?

Par définition, un rédacteur web est un professionnel de la rédaction en charge de produire des articles pour des sites web, des blogs ou des réseaux sociaux. Si vous souhaitez devenir un rédacteur web, il vous faut non seulement maîtriser les règles de la rédaction, mais aussi, les techniques qui permettent de rédiger des articles qu’on peut consulter sur des supports numériques.

Pourquoi se lancer dans la rédaction web ? Ses avantages

La rédaction web est un métier qui vous permet de devenir entièrement indépendant et autonome. Vous pouvez commencer par intégrer une agence de rédaction pour avoir de l’expérience dans le métier. Mais après 6 à 12 mois, vous aurez l’expérience requise et les qualités nécessaires pour monter votre propre business et devenir un rédacteur web freelance. Ce qui va vous permettre de prospecter librement vos clients et de choisir les tâches que vous voulez mener. Vous pouvez aussi vous positionner sur un thème spécifique et vous spécialiser sur un sujet. Il vous est également possible de diversifier les thèmes et sujets à traiter. Cela va vous permettre d’augmenter votre capital acquis et vos connaissances. En effet, vous apprendrez de nouvelles choses en même temps que vous rédigez. Votre rémunération ne sera également pas figée. Il vous revient de choisir votre planning de travail. Plus vous produirez d’articles de qualité, plus votre chiffre d’affaires mensuel augmentera.

Quelles formations suivre et combien peut-on gagner par mois ?

Si vous voulez devenir un rédacteur web confirmé, le passage par un cursus formatif est utile. Vous devez intégrer une école de journalisme pour avoir de bonnes bases en rédaction. Il est aussi possible de s’inscrire à un programme de formation spécifique sur les métiers du web. Pour ce qui est du revenu mensuel, si vous êtes débutant, il est facile d’atteindre les 1 000 à 1 500 euros/mois. Pour les rédacteurs web d’expérience, cela peut aller au-delà des 3 000 euros par mois. Mais il faut être motivé et engagé.

Fonctionnement du marketing de réseau

Le marketing de réseau ou Multi-Level Marketing est un moyen de vendre un produit via un réseau de distributeurs et non par un point de vente officiel. C’est un moyen pour les entreprises d’optimiser leur vente. Comme ces distributeurs sont plus proches des clients, ils sont plus aptes à leur proposer le produit à vendre. A chaque vente réalisée par un distributeur, ce dernier reçoit une commission, ce qui le pousse à vendre davantage. De plus, il peut parrainer d’autres vendeurs et recevoir également une commission sur toutes les ventes de ses filleuls. C’est ce système qui va permettre d’étendre le réseau et augmenter encore plus les ventes. Les entreprises proposant le MLM doivent normalement offrir tous les outils dont peuvent avoir besoin leurs distributeurs. Cela peut par exemple inclure une formation qui permettrait à ces derniers de s’initier aux applications utilisées par l’entreprise.

Le marketing de réseau vu comme une arnaque

Dans sa forme originale, le marketing de réseau n’est pas une arnaque. C’est la pyramide de Ponzi, utilisant le système du marketing de réseau qui a créé la mauvaise réputation du MLM. Ce système portant le nom de l’escroc qui l’a mis au point fonctionne comme suit. Chaque fois qu’un vendeur gagne un affilié, il touche une somme. De plus, lorsqu’un affilié recrute un affilié, son parrain touchera encore une somme. Ce qui fait que l’objectif principal ne sera plus de vendre, mais d’inciter d’autres personnes à vendre. La personne au sommet de la pyramide n’aura alors plus qu’à récolter les gains issus de toutes les personnes en dessous de la pyramide. Ce système est interdit par loi. De ce fait, vous devez faire attention aux entreprises MLM que vous choisissez. D’autre part, il faut noter que même si le marketing de réseau n’est pas une arnaque, son taux de succès reste très faible. Eh oui, pour réussir dans ce domaine, il faut travailler dur, se former, etc. et être persévérant.

Le marketing de réseau est une réelle opportunité

Le véritable marketing de réseau ou MLM vous permet de faire des bénéfices, que vous soyez parrain ou affilié. Son objectif principal, c’est la vente. Vous devez de ce fait avoir des compétences en marketing et en business pour faire un maximum de ventes et générer des bénéfices. En choisissant le marketing de réseau comme moyen de gagner votre vie, vous pouvez bénéficier de différents avantages. Vous serez votre propre patron et vous déciderez de la manière dont vous allez travailler. Mais également, vous arrangez votre propre emploi du temps et vous pouvez travailler directement depuis chez vous. De plus, si vous choisissez une bonne entreprise de marketing de réseau, vous n’aurez aucun mal à réaliser vos ventes. Lorsqu’un produit est bon, il devient plus facile de le proposer à des clients.

Description du métier de commercial

Son objectif est bien sûr de vendre mais également de fidéliser au mieux chaque client et accroître les parts de marché de l’entreprise. On peut affirmer sans le moindre doute que les activités du commercial sont vitales pour la bonne santé et la pérennité de l’entreprise qui l’emploie. En France, la vente est un secteur qui se porte bien et offre de nombreuses opportunités d’emploi. Même pour les jeunes non diplômés, la possibilité de devenir vendeur temporaire est offerte, tandis que pour les diplômés qualifiés, les chances de décrocher un CDI sont grandes. Contrairement à ce que certains peuvent penser, le métier de commercial n’est pas donné à tous, c’est un métier exigeant, avec des horaires décalés parfois, travail le week-end, de fréquents déplacements, stress et pression permanente etc.

Quelles sont les activités principales d’un commercial ?

En réalité, il existe deux types de commerciaux : les sédentaires et les itinérants. Dans la première catégorie sont compris les vendeurs dans les magasins, les grandes surfaces etc., les télévendeurs et les chargés de clientèle qui travaillent dans les établissements bancaires et dans les assurances, et dans la deuxième, les agents et les délégués commerciaux. Un commercial sédentaire accueille et informe les clients, leur présente les produits et procède à des démonstrations pour illustrer son argumentaire et réalise des ventes. Dans les magasins, il peut être amené à la mise en place des produits sur les rayons et à l’encaissement. Un commercial itinérant lui, prospecte. Autrement dit, il analyse les besoins, concocte des stratégies de vente et dresse une liste de prospects. Et enfin, il se déplace pour démarcher les clients potentiels afin de leur présenter les produits et surtout, dans l’objectif de décrocher un contrat de vente. Mais son rôle ne s’arrête pas là car il doit assurer le suivi commercial et traiter les éventuelles réclamations de sa clientèle, dans le but de la fidéliser et de maintenir une excellente relation de confiance.

Quelles qualités faut-il pour être un bon commercial ?

La première qualité exigée d’un commercial, c’est un bon relationnel. Puis, développer une grande capacité d’écoute ainsi qu’un bon argumentaire et un grand sens de la persuasion. Une excellente présentation aide énormément un commercial dans son travail, de même qu’une bonne élocution. Un bon commercial doit aimer les défis et surtout aimer les relever et être doté d’une détermination solide. Le dynamisme, un grand sens de l’organisation et une bonne résistance physique et au stress sont aussi essentiels. Et naturellement, il est indispensable de posséder une connaissance pointue et actualisée de son secteur d’activités.

Pourquoi choisir la communication ?

Quand on se trouve au centre de ce domaine, aucune information ne nous échappe. On se retrouve naturellement connecté au monde. On chasse les informations, on les analyse, on les exploite. Notre culture générale sera ainsi entretenue. Mais surtout, on développera nos capacités intellectuelles, la curiosité, la réactivité et l’esprit critique étant fortement sollicités.
Par ailleurs, en étudiant la communication, on devient un bon communicateur… évidemment. On pourra employer les acquis durant la formation dans notre vie quotidienne. On pourra mieux convaincre, on pourra mieux faire adopter un point de vue à ceux qui nous entourent.

Quels métiers à envisager dans le secteur de la communication ?

Les métiers à choisir dans le domaine de la communication dépendent assurément des talents de chacun. Si l’on est plus créatif, on se penchera plus vers la conception de messages. Ainsi, on peut être journaliste, rédacteur web, community manager ou encore graphiste (oui, la communication fait aussi dans le visuel). L’événementiel fait également partie du domaine passionnant de la communication. On pourra alors s’ouvrir vers le métier d’attaché de presse ou pourquoi pas de wedding planner. Et enfin, si l’on est plutôt stratège, ces différents métiers sont intéressants : responsable de communication interne, chargé de communication, planneur stratégique, chef de projet multimédia…
Le choix de la formation quant à lui s’orientera vers le type de métier choisi. La formation peut être sanctionnée par un DTS, un DTU, une licence, ou un master en communication.

Les études supérieures courtes

Après le bac, vous pouvez choisir de vous orienter vers des formations courtes de deux ans. Ces études vous permettent d’intégrer plus rapidement l’univers professionnel. Il s’agit de cursus professionnalisant se déclinant dans des domaines variés comme la gestion, le transport, le commerce, la communication, la santé, l’environnement, l’informatique, etc. À l’issue de votre formation, vous obtiendrez un BTS ou un DTS. Ces deux diplômes vous donnent la possibilité d’être opérationnel sur le terrain. Un BTS Management des Unités Commerciales (MUC) vous permet, à titre d’exemple d’exercer un métier lié aux commerce, gestion, management et marketing. Dès la première année, vous pouvez également choisir l’option de votre BTS MUC. Vous pouvez par exemple vous spécialiser dans l’option sport, option parfumerie, etc. Le BTS et le DTS allient cours théoriques, cours pratiques et stages en entreprise.

Les formations supérieures longues

Vous préférez suivre une formation diplômante post-bac de longue durée ? Deux possibilités s’offrent à vous : les écoles spécialisées (grandes écoles) et les universités. Les écoles spécialisées forment des managers, des ingénieurs ainsi que des spécialistes de haut niveau dans divers domaines. Les formations durent 5 ans avec des prépas intégrées. Les étudiants obtiennent des diplômes équivalents au grade de master. Ces établissements recrutent leurs étudiants par voie de concours. Les concours post-bac Sésame et Accès permettent par exemple, aux bacheliers de rejoindre directement un grand nombre d’écoles de commerce.

Mais les grandes écoles recrutent également à bac+2, après les classes préparatoires dans les CPGE (Classes préparatoires aux grandes écoles). Si vous ne souhaitez pas passer par la case prépa, le concours en admission parallèle est aussi une autre voie permettant d’intégrer une grande école après un BTS, un DUT, ou une licence.

Après le baccalauréat, vous pouvez aussi étudier à la fac. Les universités reçoivent les bacheliers provenant de tous types de filières. Vous avez y avez le choix entre un grand nombre de filières. Les universités délivrent trois diplômes nationaux, dont la licence, le master et le doctorat.

Les formations en alternance

Les formations en alternance vous offrent la possibilité d’étudier et de travailler à la fois. Vous pouvez vous diriger directement vers ce type de formation après le bac. Cela vous permet d’acquérir à la fois des connaissances théoriques et de découvrir le métier sur le terrain. En tant qu’étudiant en alternance, vous allez passer une partie de votre temps dans l’établissement formation et une partie dans une entreprise. C’est aussi un moyen de financer vos études. En effet, l’alternance vous permet de vous former tout en étant rémunéré par l’entreprise au sein de laquelle vous travaillez. Vous détenez, non plus le statut d’étudiant, mais de salarié. De nombreux établissements proposent cette formule soit sur une partie, soit sur l’intégralité de leur programme.

L’Espagne

L’Espagne figure parmi les destinations les plus séduisantes pour les étudiants. Le site studandglobe.com/fr vous fournit plus d’informations si vous souhaitez trouver un stage dans ce pays. Chaque année, des milliers d’étudiants français font leur valise pour partir en Espagne réaliser leur stage. C’est un pays accessible. Vous n’avez besoin ni d’un visa, ni d’un permis pour vous y rendre. Le pays séduit également par l’ambiance festive de ses certaines villes, son climat et sa qualité de vie. Madrid, Barcelone et Séville font partie des meilleures villes où effectuer un stage en Espagne.

Le Canada

Effectuer un stage au Canada est le projet d’un grand nombre d’étudiants français chaque année. Les beaux paysages de ce pays, ses terres démesurées, sa culture font rêver. Mais contrairement à l’Espagne, les démarches sont cette fois plus complexes. Le Canada exige en effet un visa de stage. Vous devez en effectuer la demande auprès de l’ambassade canadienne en France. Pour lancer les démarches, il faut réunir plusieurs pré-requis. Pour prétendre à un visa de stage, vous devez entre autres, être titulaire d’un passeport français valide. Il vous faut également être inscrit dans un établissement et avoir obtenu une offre de stage. Des ressources financières suffisantes et la souscription à une assurance santé conditionnent également le lancement des démarches de demande de visa. Comptez en moyenne 8 à 12 semaines pour réaliser l’ensemble de toutes ces démarches. Sans votre visa de stage, vous ne pouvez pas entrer sur le territoire canadien.

Choisir un format adéquat

Il existe plusieurs types de présentations possibles pour créer un CV. Dans tous les cas, il est conseillé de choisir une mise en page reflétant son profil et qui respecte l’image de la société concernée. L’idée est de rédiger un CV uniforme qui incite à la lecture. Selon le type de poste à pourvoir, il est possible d’opter pour un format original, créatif, stylé, cadré, coloré ou à bulles. Dans tous les cas, le CV une fois terminé doit être enregistré au format PDF pour conserver facilement la mise en page.

Utiliser une police identifiable

Autant l’avouer dès maintenant : un CV efficace n’a pas besoin de lettres travaillées. Étant donné que les recruteurs ne vont pas consacrer beaucoup de temps à la lecture, mieux vaut soigner sa lisibilité en optant pour une police épurée et moderne. Pour aller plus vite, la police Arial est un excellent choix, avoir une taille comprise entre 10 et 12. Ce type d’écriture ne perturbe pas la vue et la lecture.

Indiquer les informations essentielles

Un bon CV qui se respecte doit être court, clair et concis. Les informations superflues doivent ainsi être écartées autant que possible. Vous devez de ce fait trier vos informations et ne retenir que celles qui répondent exactement aux besoins du recruteur. Les détails personnels sont à proscrire. Il en est de même pour les informations discriminantes : date de naissance, situation familiale, physionomie, nationalité, etc.
Ces quelques règles ne sont pas exhaustives, mais elles peuvent déjà vous servir comme un point de départ pour vous exercer à bien rédiger un CV qui recrute en 2017.

Les résidences universitaires

Dans chaque campus universitaire qui se trouve sur le territoire français, il y a des résidences universitaires. Les Crous (ou Centre régional des œuvres universitaires et scolaires), présents dans chaque région, sont ceux qui assurent leur gestion. Pour habiter les résidences universitaires, il est nécessaire de fournir et de remplir quelques dossiers auprès des Crous de la région dans laquelle les étudiants devront dépendre. Les responsables étudieront alors de près chaque dossier reçu et feront la sélection selon différents critères : résultats universitaires, éloignement géographique, situation financière des parents et de l’étudiant concerné.

Les logements étudiants privés

Du fait que les places dans les résidences universitaires se font rares, de nombreux étudiants se ruent vers les résidences pour étudiants qui sont gérées et financées par des institutions privées. Souvent, on peut trouver des offres haut de gamme. Les loyers d’une chambre étudiante varient entre 400 à 900 euros par mois, pour un espace de vie d’environs 18 m². Le prix dépend du budget de chaque étudiant, du type de résidence ou encore de la situation géographique. Pour les plus fortunés, il est possible de trouver des offres qui proposent d’innombrables services pour un maximum de confort : ménage, laverie, wifi, etc.

Les solutions de colocation

Bien que les logements étudiants privés facilitent la vie des étudiants, ce n’est pas tout le monde qui peut s’offrir le luxe de bénéficier ces avantages. La colocation est ainsi une autre alternative qui s’offre aux étudiants. C’est d’ailleurs la meilleure solution si on a un budget très serré. Néanmoins, il faut avoir beaucoup de patience lors de la recherche de ce type de logement. La mission risque d’être un peu laborieuse si on souhaite résider dans un quartier sympa avec un colocataire de confiance.

Les préparatifs avant l’entretien

Avant de rencontrer votre futur patron, vous devez a priori soigner votre présentation. Les recruteurs s’intéressent à des employés qui soignent leur présentation. Par bonne présentation l’on s’attend à une tenue propice au poste demandé. Vous devez aussi vous munir des outils nécessaires, comme une montre, un agenda, un bloc-notes et un stylo. Il vous est aussi conseillé de ne pas oublier une copie de l’offre d’emploi et celle de votre lettre de motivation. Avant l’entretien d’embauche, vous aurez certainement quelques jours pour trouver quelques renseignements sur l’entreprise. Pour y parvenir, vous pouvez faire des recherches en ligne. Ainsi, vous pouvez vous informer à l’avance sur l’actualité de la société. Vous pouvez trouver, avant l’entretien, l’itinéraire à suivre éviter le retard. N’hésitez pas non plus à vous renseigner sur les personnes qui vous recevront lors de l’entretien. Devant le miroir, vous pouvez vous entraîner à la présentation de vos parcours.

Erreurs à éviter durant l’entretien

Lors de l’entretien d’embauche, il faut respecter l’heure prévue. L’idéal est d’arriver 5 minutes d’avance. Il vous est conseillé de vous exprimer d’une manière claire et précise. Après la présentation, vous devez laisser le temps au recruteur pour qu’il explique le déroulement de l’entretien. Vous devez accorder plus d’importance à la présentation de votre parcours. C’est dans été étape que vous citez d’une manière détaillée toutes vos expériences. Pour chaque emploi que vous avez déjà exercé, vous devez mentionner les raisons de votre départ. N’oubliez surtout pas de mettre en avant vos motivations ainsi que les principales raisons qui vous poussent à déposer votre candidature au sein de l’entreprise.